• Le nom et la seigneurie de Léotoing tirent leurs origines d'une branche cadette de la famille de Mercoeur. Dès la fin du XIe siècle, Anthoine de « Lauthon » puis ses frères et ses héritiers imposent leur autorité sur de nombreux fiefs voisins. Vers 1420, la seigneurie se scinde et les cadets s'installent à Montgon qui devient le fief principal de la branche des Léotoing-Montgon. Le château n'occupe alors qu'une motte délimitée par un fossé, située approximativement au point le moins élevé du site, aux alentours du cimetière. À la suite de dissensions au sein de la famille comtale d'Auvergne, Léotoing fait partie des fiefs donnés par jugement royal à Robert Dauphin, comte de Clermont qui les lègue à son fils Hugues au début du XIVe siècle.Entre temps, les Dauphin donnent au château seigneurial un nouveau visage : Une forte tour maîtresse et ses annexes sont édifiées en aménageant une terrasse sommitale sur le piton rocheux voisin. La motte primitive est arasée et l'ancienne basse-cour, close de murs, donne naissance au village avec son église paroissiale.En 1264, les habitants reçoivent une charte de franchises et de privilèges en échange de prestations de services militaires et les fournitures au bénéfice des Dauphin et de leurs suites. Un siècle plus tard, vers 1365, un autre Robert Dauphin renforce les défenses du château afin de dissuader toute attaque éventuelle. C'est le temps de la guerre de Cent Ans et des compagnies de mercenaires occupent Brioude. Au XVe siècle, un dernier programme d'aménagements résidentiels achève de donner au château sa physionomie définitive. Entre-temps, Béraud III, dernier représentant mâle des Dauphin, marie sa fille unique à Louis de Bourbon, comte de Montpensier. De cette famille comtale puis ducale des Montpensier, la seigneurie passe aux ducs d'Orléans.

      Le château laissé sans entretien tombe en ruines à partir du XVIe  siècle. Vendu comme bien national à la Révolution, il sert alors de carrière pour les habitants du village.Source Wikipédia


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  • Fuzz dans le trou qu’il a creusé

    Les habitués de mon blog connaissent mon amie qui vit au Canada. Pour mémoire je rappelle qu’elle a migré au

    Bopetigro & Christophine

     pays de son époux avec 28 chiens et chats recueillis en Guadeloupe. Sur l’île, elle avait, un moment donné, 41

    Bopetigro

    rescapés ainsi que des oiseaux. Les volatiles ont été recueillis par le vétérinaire lors du déménagement vers la

    Nana Nana

    Colombie Britannique. Aujourd’hui quelques années ont passé, les animaux vieillissent et meurent. Mais il reste

    Bopetigro & Loewe Bopetigro & Loewe

    une belle brochette. Chiens et chats coulent des jours heureux dans leur nouvelle patrie où ls se sont adaptés.  Lorsque mon amie jardine les petits compagnons ne sont jamais loin. J’aime les noms qu’elle leur a donnés.

     


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  • On dit “avoir une mémoire d’éléphant”. Mais qu’en est-il de la mémoire d’un fauve tel qu’un lion. Cliquez sur l’image pour voir.


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  •  Lors de mes dernières sorties j’ai remarqué que de nombreux objets, ustensiles etc. d’autrefois servaient à la décoration. La plupart du temps ils deviennent des récipients pour les fleurs. C’est ainsi qu’à Riquewihr j’ai trouvé une charrette, une panière sur roues (Marigkütsch), un abreuvoir et une pompe à eau , de vieilles bassines à linge, etc. À Kunheim des mangeoires servent de pots pour les géraniums.


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  •  Ce matin de bonne heure le vent balayait le ciel des derniers nuages. Maintenant ils ont tous disparu et il fait une chaleur caniculaire. Hors la ville les buissons d’églantines sont en fleurs.


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