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La Saintonge appartient géographiquement au Sud-Ouest de la France, dans l’entité régionale bien connue sous le vocable générique des Charentes qui est composée des départements de la Charente et de la Charente-Maritime. Dès ses lointaines origines, l'ancienne province de la Saintonge a eu pour capitale historique Saintes, cette dernière reste toujours la principale ville de la région. La rose trémière est la fleur emblématique de la région où de nombreux puits sont classés et protégés. Clic pour d’autres puits.
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Pour la communauté "Un petit coin de ciel" gérée par Alba nature.
7h28
Depuis ce matin le vent chasse les nuages.
12h04
Tant et si bien qu’aux alentours de midi le soleil semblait gagner la partie.
12h05
Mais pour l’heure il est bel et bien vaincu. Le gris uniforme est revenu.
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Ces derniers temps, avec l’éclosion des fleurs et le beau temps, les abeilles s’en donnent à cœur joie. Alors qu’elles sont en danger à cause des monocultures et des pesticides,
ça fait plaisir de les entendre. Bzz...Bzz...dans le pommier
en fleurs, dans le parterre de tulipes et même sur les
pissenlits qui mettent de belles teintes jaunes dans les prés. Dans le sous-bois les violettes tendent fièrement leurs corolles, elles attendent elles aussi les ouvrières.
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Impossible de se déplacer à pieds dans ce pays sans être immédiatement entouré d’une ribambelle de mendiants ou autres opportuns. Aussi lorsque mon amie est venue nous rendre visite durant l’été 1983, nous prenions la voiture pour le moindre déplacement.
À l’époque mon époux supervisait les travaux sur la péninsule de Labadie proche du Cap Haïtien. En conséquence nous y allions souvent. Dans la région un lieu était incontournable pour les touristes : La Citadelle La Ferrière de Milot, ouvrage militaire construit au début du XIXème siècle par Henri Christophe par crainte du retour des troupes napoléoniennes, plus grande forteresse des Caraïbes : à 900 mètres d'altitude. La route pour l’atteindre n’était praticable qu’à pieds ou à cheval. Plusieurs kilomètres de montée. Malgré mes craintes je remontai donc à cheval. Celui-ci s’appelait Laiss’m Viv’. Croyez moi, il se laissa vivre, tant et si bien que j’arrivai bonne dernière, derrière mon époux et mon amie tous deux bien entourés par les boys qui surveillaient les cavaliers par crainte de les voir tomber. À la descente mon cheval, sentant l’écurie, se mit à trotter si vite que le boy qui tenait la corde qui servait de rênes dû la lâcher pour ne pas tomber. Cette fois j’arrivai en bout de piste, bonne première. Mon époux et mon amie qui m’avait vu disparaître dans la forêt furent très heureux de me retrouver saine et sauve. C’était la dernière fois que je montais à cheval dans ce pays.
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J’ai ouvert l’album de famille de belle-maman. Un gros livre aux pages épaisses dont les tranches sont dorées à la feuille, reliée de cuir bordeaux et clos par une serrure. Les portraits y sont nombreux . Belle-maman avait de nombreux frères et sœurs hélas tous disparus à l’époque où je me suis mariée. En conséquence je ne peux mettre aucun nom sur la plupart des personnages. Les photos datent de la fin XIXème et début XXème siècles.
Il est probable que les trois photos publiées aujourd’hui soient une et même personne photographiée à divers époques de sa vie d’enfant de la "Bourgeoisie haïtienne". Les photos ont été prises par W. Watson Photo, Port au Prince, Haïti (Inscription au dos des photos).
Mes initiales Photo copyright
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