Nouveaux portraits pour  la catégorie intitulée Portraits d’antan.  Dans laquelle vous trouverez quelques photos prises fin XIX^ème et début XX^ème siècles.

Photo prise par grand-père

Grand-maman et père photos prises :  l’une  dans un atelier colmarien, l’autre par grand-père qui développait ses photos dans son atelier personnel installé dans une pièce sans fenêtre au second étage de l’hôtel familial.

Mes initiales  Photo copyright

 La poule d’eau fait partie de la famille des Rallidés comme la foulque marcoule. Elle fréquente les mêmes milieux, plans et cours d'eau, comme la foulque marcoule mais son aspect  et même son comportement est très différent. Elle est plus discrète et ne s'éloigne guère des berges où elle est prompte à se réfugier dans la végétation ou les enrochements.Sa robe est brun noir nuancé de verdâtre dessus. Le rouge de son front et de la base de son  bec à pointe jaune, constituent, avec les raies blanches sur les flancs, des critères d'identification faciles. Ses pattes ne sont pas palmées. Sur terre elle est plus agile que la foulque. La poule d'eau ne s'immerge à peine que pour se soustraire à un danger.

Pour la communauté "Un petit coin de ciel" gérée par Alba nature.

Ciel plutôt nuageux avec malgré tout quelques percées du soleil.

Samedi en passant près de l’étang j’ai vu depuis le route, le mâle ouette d’Egypte perché sur un rocher. Je me suis arrêtée devant le portail pour faire une photo. Hélas les piles étaient vides. Je suis donc retournée à la voiture pour les changer. J’ai fait tout cela en tournant le dos à l’oiseau et en lui parlant doucement. Lorsque je me suis retournée, il n’avait pas bougé. J’ai donc pu faire la photo que je partage avec vous.

La foulque macroule est souvent prise pour une poule d'eau par les promeneurs non avertis. Elle est facilement reconnaissable à son écusson frontal et son bec blancs très visibles, ce d'autant plus que cet oiseau nage souvent à découvert sur les plans d'eau, même urbains. On ne lui prête guère attention tant elle est omniprésente sur nos étangs.

La foulque, au plumage gris anthracite, a un aspect trapu de canard. Elle plonge parfaitement sous l'eau pour se nourrir. Sur terre elle se déplace de façon lourdaude. C’est une excellente nageuse bien que n'ayant pas les pieds palmés. Elle n’aime pas voler. Pour y parvenir, la foulque est obligée de prendre un élan d'une vingtaine de mètres en courant sur l'eau. C'est à la nage et par immersion que la fuite s'opère en priorité.

Il y a quinze jours la saison des tulipes battait son plein. Il y en avait partout : dans les jardins du voisinage, dans les parcs de la ville et même au cimetière. Lundi j’en ai vu quelques unes aux pieds des arbres près de mon dentiste. Aujourd’hui rares sont les endroits où elles tiennent bon : petits coins protégés du soleil, ou un peu plus haut dans les villages de montagne.