• Le saint ayant été rayé du calendrier liturgique en 1969 la fête est laïque. Mais quel que soit l’âge la Saint-Valentin est fêtée par tous les couples. Je vous souhaite donc une belle journée de fête. Profitez, la vie est courte…

    Jeunes ou vieux les couples sont amoureux

    L'origine réelle de la fête est attestée au XIVe siècle dans la Grande-Bretagne encore catholique où le jour de la Saint-Valentin du 14 février était fêté comme une fête des amoureux car l'on pensait que les oiseaux choisissaient ce jour pour s'apparier. Restée vivace dans le monde anglo-saxon, comme Halloween, cette fête s'est ensuite répandue à travers le continent à une époque récente.  Source Wikipédia


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  • Mardi Gras

    Aujourd’hui, je suis invitée au Petit Château, maison de retraite de Beblenheim, à participer au repas festif ayant comme thème carnaval.  Ce mot vient de l'italien carnevale ou carnevalo.

    Mardi Gras

    Il a pour origine carnelevare, un mot latin formé de carne « viande » et levare « enlever ». Il signifie donc littéralement « entrée en carême ». En effet le lendemain c’est le mercredi des cendres premier jour du

    Mardi Gras

    carême. Carnaval a pris de l’ampleur avec le temps et de nombreux pays fêtent Mardi Gras avec plus ou moins de faste.

     
     

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  • En ce premier jour de l’an neuf je vous offre cette carte porteuse de mes vœux les meilleurs pour 2016.

     
     

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  • Un ami m’a envoyé un poème que je trouve amusant. Je le partage avec vous et vous souhaite de passer un superbe réveillon. Bonne et Heureuse année 2016.

    Veille de l’an neuf

    A mes Amis sexagénaires, septuagénaires, octogénaires…  

    A tous les jeunes qu’on a connus... avant
    et qui sont des vieillards... maintenant !
    A toutes ses filles jadis coquettes
    maintenant en maison d’retraite,
    pour nous souvenir, prenons un instant
    tant qu’il est vraiment encore temps !
     
    A tous ces garçons, hier, charmants
    et qui, aujourd’hui, sont grisonnants,
    A toutes ces filles en mini-jupettes
    ridées désormais comme des fruits blets,
    J’envoie ce message important
    pour nous moquer un peu de nos tourments.

    Veille de l’an neuf

    On vieillit, on vieillit,
    on est de plus en plus raplati, raplati.
    On a la mémoire comme une passette
    on a du mal pour mettre nos chaussettes.
    On est tout rabougri, déjà amorti,
    On oublie même parfois ses anciens amis.
     
    A tous mes virtuels correspondants
    qui sont chaque jour devant leur écran
    A tous mes amis qui, par internet,
    m’envoient souvent des “blagounettes”,
    Je souhaite qu’encore longtemps
    nos échanges soient récurrents.
     

     
     

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  • De 1914 à 1951, un instituteur alsacien, Philippe Husser, a tenu au jour le jour une chronique de la vie quotidienne, entre culture allemande et attachement français.

    Voici un extrait de ce qu'il a écrit le 11 novembre 1918 :« C'est l'armistice à partir de 11 heures. Il n'y a plus de black out. Toutes sortes de marchandises introuvables depuis longtemps réapparaissent dans les vitrines. On constate déjà une baisse des prix. Sur quarante-neuf élèves, trente et un sont présents. Ils se tiennent correctement et sont venus sans cocarde. On a retiré, des murs de la classe, les souvenirs de la guerre (cartes du front, images.) L'allocation exceptionnelle de vie chère (660 et 350 marks pour chacune des filles) a été payée en bons de caisse municipaux. Deux collègues, allemands de souche, (Weiss et Schillinger) ont fait valoir leur droit à la retraite. Les conditions de l'armistice sont publiées. Elles dépassent les pires craintes, mais elles ont été acceptées. La défaite allemande est totale. L'Allemagne anéantie est à la merci de ses vainqueurs. »


    Il était onze heures précises, ce lundi 11 novembre 1918, lorsque le son d'un clairon, bientôt imité par des centaines d'autres, résonna sur le sol de France. Depuis plus de deux heures, déjà, les poilus engagés en Alsace célébraient la victoire tandis que, dans les Ardennes, les soldats américains redoublaient encore d'ardeur au combat. Bientôt, à l'arrière, les cloches de milliers d'églises allaient sonner la fin d'une abominable guerre engagée cinquante-deux mois plus tôt. Incrédules et fourbus, de premiers groupes de militaires commençaient tout juste à émerger des tranchées tandis que sur les grands boulevards de la capitale, sans attendre, les façades se paraient de drapeaux et de fleurs. Source : http://www.lefigaro.fr/

    Armistice 11 novembre 1918

     Calendrier d’après guerre illustrant la joie ressentie en Alsace.

     
     

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