• Le
    puma est l’un des plus gros prédateurs carnivores du continent américain. Il est également appelé couguar ou lion des montagnes. Il a des ongles rétractables comme les chats. Baptisé le « lion » des Amériques, le puma règne sur les monts neigeux du Canada jusqu’aux rives de la Terre de feu. C’est un prédateur efficace. Ses proies préférées sont les cervidés, du grand wapiti canadien au petit poudou des Andes. En période de disette, il se contente de lièvres et petits rongeurs. C'est un grand amateur de cerfs de Virginie, d'élans et de rennes. Il préfère chasser au crépuscule pour bénéficier de l’effet de surprise. Le couguar s’approche silencieusement de sa proie afin d’être à bonne portée pour bondir. Il peut fondre sur ses proies à plus de 70 km/h. Comme tous les petits félins, il pratique l’affût. C’est un maître de l’embuscade. En quelques bonds, il se retrouve sur le dos de sa victime. Le choc est si puissant qu’en principe l’animal meurt la nuque brisée. Si ce n’est pas le cas, le couguar l’achève d’un coup de patte ou en lui enfonçant ses crocs dans la gorge.

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  • Saviez-vous que jadis, le nombre de boutons sur le gilet et la veste d'un homme était en fonction de sa fortune ! Pas pauvre cet homme...


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  • Tous les soirs ou presque, je clapote avec mon amie qui vit sur
    Malcom Island, une île entre Vancouver Island et le continent canadien. C'est formidable, j'ai l'impression de vivre avec elle durant ce laps de temps. J'entends les chiens aboyer alors qu'un animal rode tout proche de la clôture.

    Ils ont hurlé durant deux bonnes heures aujourd'hui. Chaque fois notre papotage a été interrompu. Ils regardaient vers la forêt mais mon amie n'a rien vu. Etait-ce un couguar, des loups ou le grizzly aperçu quelque temps auparavant ?  Y a de quoi donner la chair de poule, n'est-ce pas !

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  • Je parle toujours à l'animal qui me suit, la queue entre les pattes. Arrivée à la porte je n'arrive pas à l'ouvrir. Et pour cause, j'avais oublié que dans cette région sauvage, les portes s'ouvraient vers l'extérieur et non vers l'intérieur comme chez nous. L'animal est toujours derrière moi. Enfin lorsque je réussis à me mettre à l'abri, à réveiller les deux Américaines, à leur raconter mon aventure, toutes deux de s'exprimer:

    «Tu as rêvé, c'est impossible, il ne peut pas y avoir un loup dehors à cette heure de la journée, d'ailleurs il fait trop chaud.»

    Je les presse de regarder par la fenêtre, le loup a disparu.

    Ces dames restent sur leur position.

    «Marylou it's impossible.»

    Après le dîner elles seront bien obligées de me croire.


     


     Pour ça oui elles allaient me croire et même constater de leurs propres yeux.

    La journée se déroule tant bien que mal. Je ne suis absolument pas rassurée.

    Une sorte d'angoisse m'envahie. Sonny boy et son petit copain, l'Indien, finissent par rentrer de leur escapade sur le lac. Le voisin a renoncé à sa visite. On dîne dans la cabane réservée à cet usage, pas loin du food cage ou grenier sur pilotis. Il arrive que les ours, les grizzlys et autres plantigrades entrent dans les habitations isolées, attirés par l'odeur de quelque chose à se mettre sous la dent sans trop de difficulté. La porte du cabanon salle de bain a été défoncée au printemps car Sonny boy  y avait oublié quelques bonbons. C'est là que je suis après le dîner. Il est tard, presque 23h, le soleil n'est pas couché
     



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  • 2004 fut l'année du centenaire de la mort d'Auguste Bartholdi, natif de Colmar. Pour cet anniversaire, la ville a érigé une reproduction de la Statue de la Liberté. Celle-ci accueille les visiteurs, à l'entrée de Colmar, depuis le 4 juillet 2004, date de son inauguration. Le 4 juillet est jour de fête nationale aux USA.


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