•  C'est la saison, il y en a partout : dans les bacs à fleurs de la ville, dans les jardin du voisinage, au bord du chemin dans le quartier des maraîchers où j'aime me balader. 

    Ces plantes vivaces doivent leur nom au grec Hemera "jour" et kalos "beauté. Les fleurs de la plupart des espèces s'épanouissent à l'aube et se fanent au coucher du soleil, pour être remplacées par une autre sur la même tige le lendemain. Certaines espèces fleurissent la nuit. Les hémérocalles sont étonnamment peu utilisées comme fleurs coupées bien qu'elles continuent à faire de nouvelles fleurs sur les tiges coupées pendant plusieurs jours. Seul un petit nombre de cultivars sont parfumés. Certains cultivars refleurissent plus tard dans la saison, en particulier si leurs fructifications sont taillées. La fleur est composée de trois pétales et trois sépales, collectivement appelés tépales, chacun avec une nervure centrale de la même ou dans une couleur contrastante. La section centrale de la fleur, appelée la gorge, a généralement une couleur différente. Il y a six étamines, chacune avec une anthère à deux lobes. Après la pollinisation, la fleur forme une capsule à 3 loges. Source Wikipédia


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  • Aujourd’hui c’est mon anniversaire.
    Je souhaite bonheur et santé à tous ceux et celles qui sont nés un 20 juillet. Parmi mes cadeaux un diaporama sur les ciels sauvages que j’aime tant.
    J’ai sélectionné quatre photos pour illustrer ce billet. N’oublions pas que quelque soit la saison, quelque soit le pays, quelque soit le temps, notre monde est beau. Sachons le protéger.


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  • Le jour de ma balade dans le quartier des maraîchers, j’ai été gâtée.
    J’ai vu les cygnes, et puis, un peu plus tard, au même endroit, j’ai aperçu un héron.

    Il était debout dans la rivière plus ou moins caché par les hautes herbes. Lorsque je me suis approchée, il s’est envolé en poussant des cris perçants. Il criait très fort. Voulait-il m’impressionner ou avertissait-il un autre volatil.
    Toujours est-il, qu’à part lui, je n’ai pas vu d’autre échassier. L'herbe était jonché du duvet laissé par les cygnes qui avaient fait leur toilette avant de retourner à l'eau.


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  • La propriété de mes amis est au milieu des bois. Ils ont choisi cet endroit isolé pour héberger les 28 chiens et les 15 chats qu’ils ont ramenés depuis la Guadeloupe. Depuis huit années ont passé. Lentement mais sûrement, les vieux chiens meurent. Fuzzy boy a été endormi la semaine dernière, il avait 17 ans. Mes amis sont tristes. C’est le vingtième chien qu’ils perdent depuis leur retour au Canada.

    Tous leurs animaux ont une histoire. Je vous ai conté celle de Fuzzy et de sa sœur en janvier 2012 peu de temps après la mort de la femelle (septembre 2011) Clic pour voir. Dans le jardin Fuzzy boy avait une place bien à lui : le trou qu’il avait creusé aux pieds d’un arbre. Il aimait s’y réfugier après la balade quotidienne hors propriété avec sa maîtresse. Fuzzy avait une belle robe aux longs poils. De temps en temps il était tondu.
    Lorsque sa maîtresse travaillait au jardin il n’était jamais loin d’elle.
    Il adorait être dans la voiture.

     

     

    Et chose étrange, pour un chien né au soleil, il adorait la neige dans laquelle il aimait se rouler.


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  • Au jardin les iris ont disparu. La brouette dénudée s’est garnie de fleurs. Les pieds d’alouettes s’épanouissent. Les liserons courent sur l’herbe.


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