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La Saintonge appartient géographiquement au Sud-Ouest de la France, dans l’entité régionale bien connue sous le vocable générique des Charentes qui est composée des départements de la Charente et de la Charente-Maritime. Dès ses lointaines origines, l'ancienne province de la Saintonge a eu pour capitale historique Saintes, cette dernière reste toujours la principale ville de la région. La rose trémière est la fleur emblématique de la région où de nombreux puits sont classés et protégés.
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Encouragée par plusieurs de mes copinautes j’ouvre une nouvelle catégorie sur mon blog intitulée Portraits d'antan. Vous y trouverez quelques photos des parents de belle-maman prises fin XIXème et début XXème siècles ainsi que des vieilles photos qui viennent de "mon côté" comme on disait jadis.
Il a fier allure ce petit gars photographié par le studio Mevs & Co.
Port au Prince. Haïti
Mes initi ales
Photos copyright
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Pour la communauté "Un petit coin de ciel" de Mary Ker et Alba nature avec l’espoir que mes ciels seront appréciés par elles et tous les visiteurs du blog.Encore une belle journée en perspective. Où que je regarde le ciel est bleu rien ne le perturbe si ce n’est la fumée qui s’échappe de la cheminée voisine ou la lune qui tarde à disparaître à l’ouest.
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Pour la communauté « tout simplement » de Nathlb.Nénuphar ou nénufar est un nom vernaculaire ambigu en français. Le nénuphar est une plante aquatique, dicotylédone, de la famille des Nymphéacées, de l'ordre des Nymphaeales (contrairement au lotus qui fait partie des Nelumbonaceae), à rhizome, aux feuilles arrondies flottantes, aux fleurs solitaires blanches, jaunes, violacées ou rougeâtres, se développant à la surface des eaux calmes dans les pays chauds et tempérés. Source Wikipédia
Aujourd’hui il fait beau. Le soleil brille. Les soucis à la porte et place aux bons souvenirs. Comme cette matinée passée au jardin Huntington à San Marino en Californie. Il faisait très chaud en cette journée du mois d’août 1988, mais tout à mon bonheur de faire des photos je ne me suis pas rendu compte de la chaleur. Heureusement qu’il y avait de nombreuses fontaines pour se désaltérer dans le parc. Autre souvenir la balade au dessus de Vancouver dans Cypress Bowl Park. Dans tous ces endroits j’ai trouvé de superbes nénuphars cultivés ou sauvages.
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En réponse aux commentaires horrifiés reçus sous l’article publié jeudi je voudrais vous dire :
Nombreux Haïtiens ne survivent que grâce à leurs compatriotes plus aisés. La dépendance est chose courante. Pour exemple les employés de belle maman étaient pris en charge pour absolument tout et le sont toujours grâce aux revenus (des loyers, métairies etc.) qui rentrent plus ou moins et sont gérés par l’avocat et l’amie qui ont les procurations. L’appel de la ville étant plus fort que la raison, les paysans affluent croyant trouver une vie meilleure. Hélas ce n’est pas le cas alors c’est le système débrouille qui l’emporte, quitte à squatter, construire n’importe où et comment, pour ne pas rester à la rue.
Maison familiale sur le domaine de Brache
Sur les terres de Léogane la maison d'un des régisseurs
Aujourd’hui, après le séisme de 2010, quelques uns ont compris qu’il valait mieux retourner ou rester à la campagne. Mon époux a hérité des nombreux domaines agricoles, des maisons de commerce, villas etc. Mais pour garder tout ceci il faut une poigne de fer, se battre contre l’envahisseur. Il n’y a pas que les démunis qui prennent sans vergogne, les membres de la famille s’y mettent aussi.
Kenscoff : la petite maison où j'aurais aimé vivre
Pour exemple la villa sur les hauteurs, louée à une cousine au énième degré, est dans ses mains. Elle ne paie pas de loyer et construit ce que bon lui semble sur le terrain. Les magasins en location sont en zone dite d’utilité publique depuis le séisme et réquisitionnés. Les métairies plus ou moins laissées aux mains de ceux qui les occupent car avant de payer un loyer il faut vivre. Haïti est un lieu où la corruption règne en maître.
Sur les terres de Léogane : ti kay d'un paysan
Les avocats de mon époux ont fort à faire. Malgré tous les biens rien n’arrive chez nous car la monnaie du pays, la gourde n’est pas négociable. Et si par bonheur les gourdes peuvent être changées en dollars US, de nombreuses personnes se sucrent au passage pour ne laisser que des miettes. Alors…que Dieu sauve Haïti
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