• Dans les années 90 j’étais accompagnatrice voire famille d’accueil pour « Experiment ». Un organisme qui accueillait des seniors américains membres d’Elderhostel. Les séjours de trois semaines comprenaient deux semaines de visites et une semaine en famille. Ils se déroulaient toujours autour d’un thème. Celui d’octobre 91 s’intitulait : Sur les traces des impressionnistes. C’est un peu de ce séjour que je vous conte.

     Etretat une autre étape dans la vie de Monet.

    Grosse mer à Etretat toile de Monet peinte en 1868 (musée d’Orsay)

    En ce lundi 7 octobre 1991 il faisait très beau. Tous les participants étaient très excités de se retrouver aux pieds des falaises.

    La plupart d’entre eux étaient des artistes amateurs. C’était à celle ou celui qui ferait la plus belle esquisse. Ils sortirent leurs carnets, blocs notes et fusains pour immortaliser l’instant. Rares étaient ceux qui comme moi prenaient des photos.

    Train dans la campagne toile de Monet peinte en 1870-71 (Musée d’Orsay)


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  • Le nom et la seigneurie de Léotoing tirent leurs origines d'une branche cadette de la famille de Mercoeur. Dès la fin du XIe siècle, Anthoine de « Lauthon » puis ses frères et ses héritiers imposent leur autorité sur de nombreux fiefs voisins. Vers 1420, la seigneurie se scinde et les cadets s'installent à Montgon qui devient le fief principal de la branche des Léotoing-Montgon. Le château n'occupe alors qu'une motte délimitée par un fossé, située approximativement au point le moins élevé du site, aux alentours du cimetière. À la suite de dissensions au sein de la famille comtale d'Auvergne, Léotoing fait partie des fiefs donnés par jugement royal à Robert Dauphin, comte de Clermont qui les lègue à son fils Hugues au début du XIVe siècle.Entre temps, les Dauphin donnent au château seigneurial un nouveau visage : Une forte tour maîtresse et ses annexes sont édifiées en aménageant une terrasse sommitale sur le piton rocheux voisin. La motte primitive est arasée et l'ancienne basse-cour, close de murs, donne naissance au village avec son église paroissiale.En 1264, les habitants reçoivent une charte de franchises et de privilèges en échange de prestations de services militaires et les fournitures au bénéfice des Dauphin et de leurs suites. Un siècle plus tard, vers 1365, un autre Robert Dauphin renforce les défenses du château afin de dissuader toute attaque éventuelle. C'est le temps de la guerre de Cent Ans et des compagnies de mercenaires occupent Brioude. Au XVe siècle, un dernier programme d'aménagements résidentiels achève de donner au château sa physionomie définitive. Entre-temps, Béraud III, dernier représentant mâle des Dauphin, marie sa fille unique à Louis de Bourbon, comte de Montpensier. De cette famille comtale puis ducale des Montpensier, la seigneurie passe aux ducs d'Orléans.

      Le château laissé sans entretien tombe en ruines à partir du XVIe  siècle. Vendu comme bien national à la Révolution, il sert alors de carrière pour les habitants du village.Source Wikipédia


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  • Blesle sous la pluie (43)

    Bien que plus beau village de France, Blesle a l’air bien triste sous la pluie. C’est à son abbaye bénédictine créée au IXème siècle que Blesle doit son existence et son essor. Si de la

    Blesle sous la pluie (43)

    forteresse bâtie par les barons de Mercoeur ne subsiste que donjon, tours et mur d’enceinte, maisons à pans de bois et portes sculptées témoignent encore du passé médiéval du village.

    Blesle sous la pluie (43)

    Le village se situe dans une vallée dominée par une falaise basaltique à la confluence de la Voireuse et du Merdan, ce premier rejoignant l’Alagnon plus bas. Situé sur le site néolithique de

    Blesle sous la pluie (43)

    Chadecol, ce site fut aménagé il y a 4000 ans. Ensuite la présence d’un siège paroissial mérovingien suggère un peuplement gallo-romain. Enfin son essor débute lors de la fondation du monastère

    Blesle sous la pluie (43)

    à la fin du IXème siècle, complété par la construction d’un château au XIème siècle. Source Wikipédia

     


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    L'église est dédiée à sainte Catherine d'Alexandrie comme le rappelle une sculpture sur bois au-dessus du porche du clocher séparé des deux nefs. Elle y est représentée portant une roue et une épée. La première nef est la partie la plus ancienne de l'édifice, datant de la seconde moitié du XVe siècle, construite dès après la Guerre de Cent Ans. Elle a été bâtie sur le modèle d'une halle de marché, où ont été utilisés des éléments servant à la construction navale, le tout donnant l'aspect d'une coque de bateau renversée. Ensuite a été érigé le clocher à bonne distance de la nef, pour éviter que les paroissiens présents dans l'édifice ne soient la proie des flammes en cas d'incendie. En effet, le clocher attire la foudre en raison de son élévation et de sa position à flanc de colline. Au XVIe siècle, on ajoute une seconde nef, dont la voûte est conforme aux voûtes en bois des églises gothiques modestes.

     

     

     

    Elle a donc une forme plus arrondie et une disposition de charpente, sans rapport avec la structure d'un navire. De plus, on allonge les deux nefs de deux travées supplémentaires. Source wikipédia

    L'église   Le clocher
    Le fortin  Hostellerie Le chat

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  • Petit retour sur la ville visitée en 1991. en ce temps là j'étais interprète pour "Experiment", une association franco-américaine.

     Honfleur est située sur la rive sud de l'estuaire de la Seine, en face du Havre, tout près du débouché du pont de Normandie. Elle est surtout

     

    connue pour son vieux port pittoresque, caractérisé par ses maisons aux façades recouvertes d'ardoises, et pour avoir été maintes fois représentée par des artistes, dont notamment Gustave Courbet, Eugène

     

    Boudin,Claude Monet et Johan Barthold Jongkind, formant l’École de Honfleur qui contribua à l'apparition du mouvement impressionniste.

    Source wikipédia


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