• Butchart Gardens est un groupement de jardins d'exposition florale situé à Brentwood Bay, Colombie-Britannique, Canada, près de Victoria sur l'Ile de Vancouver.  

    En 1904, Robert Pim Butchart et sa femme Jennie Butchart établirent leur quartier près de leur carrière sur l'anse Tod au pied de la Péninsule Saanich sur l'Ile de Vancouver. Ils l'équipèrent entre autre d'un étang d'eau salé. En 1906, Jennie y créa un jardin japonais. En 1909, lorsque la carrière fut épuisé, Jennie se mis à la transformer en un jardin englouti (sunken garden), qui fut terminé en 1921. En 1926, ils remplacèrent leurs cours de tennis pas un jardin à l'italienne, et en 1929 leur jardin végétal de cuisine en un large jardin de rose. Source Wikipédia


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  • Grâce aux photos de mon amie et d’une personne qui lui a rendu visite, je peux vous faire partager leur voyage de Victoria, la capitale de la Colombie Britannique à Sointula petite bourgade sur Malcom Island. Le voyage commence par la visite de Butchart Gardens dont je vous parlerai plus en détail dans un prochain article. 

     Ma première vidéo faite avec Movie Maker j’espère qu’elle vous plaira.


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  • Mon amie qui vit au Canada vient de m’envoyer cette photo de Fuzzy prise sur la plage. Et ceci afin de me changer les idées. Belle attention de sa part et je la remercie de tout cœur. N’est-il pas craquant ce chien !

    Fuzzy et son frère ont été recueillis en Guadeloupe puis amenés en Alsace selon le désir d’une alsacienne qui les avait vus errer aux alentours de l’hôtel où elle résidait. Mon amie les a vaccinés etc. et lors de son voyage vers l’Alsace elle les a amenés à la touriste en question. Hélas malgré les dires et les écrits échangés avec cette dame celle-ci s’est désistée. Michèle a bien essayé de les faire adopter. Ils ont même parus dans le journal DNA sous les noms : Dom et Tom. Comme aucune personne digne de confiance ne s’est présentée, mon amie a ramené les chiens en Guadeloupe. Lors de son déménagement vers le Canada en 2005 ils étaient du voyage.


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  • http://mestiti.m.e.pic.centerblog.net/jjcr5vn5.gif Hier soir à mon arrivée mon époux était souriant et guilleret on venait de lui apprendre qu’il rentrerait mercredi dans la matinée soit demain matin. Moi j’étais heureuse pour lui bien que le médecin m’avait dit la veille qu’il ne rentrerait pas de si tôt… ces messieurs dames ne savent pas ce qu’ils veulent, ils ne songent pas au stress que cela engendre pour le conjoint. Jeudi ,il rentrait samedi, vendredi c’était reporté à lundi, dimanche pas de si tôt, lundi reporté à mercredi…et aujourd’hui encore contre ordre. Par contre le personnel : infirmières, aides-soignants etc. adorable et plein de bonnes intentions : le jour et la nuit comparé au week-end. 

     


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  • Chers blogopotes si tant soit peu je puis m’exprimer ainsi. Désolée de mon absence mais je pense à vous et vous remercie de vos mots de soutien. Cela me fait du bien d’autant plus que je suis très fatiguée par ma récente crise de tachycardie, la chaleur et mes va et vient vers l’hôpital.

    http://i48.tinypic.com/2cqxkjl.gif En ce qui concerne mon époux je pourrais vous conter chaque jour les rebondissements et aléas survenus. Je n’ai rien dit jusqu’à présent pour ne point nuire à ceux et celles qui font correctement leur service hospitalier. Mais hier dimanche je n’en pouvais plus et me suis révoltée. Mon époux a été très bien soigné et suivi dans le service des soins intensifs jusqu’à son transfert vendredi dans un autre service (à l’étage en dessous donc pas bien loin). La transmission ne se faisant pas correctement d’un étage à l’autre l'infirmières ne voulait pas mettre les gouttes(COSOPT (Antiglaucomateux)dans les yeux de mon époux car ce médicament n’était pas inscrit sur la feuille de transmission. Chose que je comprends très bien car les infirmières doivent suivre les ordres du médecin responsable du service. Celui-ci étant absent durant tout le week-end (vendredi, samedi et dimanche) pas possible de faire comprendre à la personne de service que sans les gouttes mon époux risquait le glaucome. Personne, jusqu’à hier soir n’a pensé appeler un médecin disponible : moi fatiguée par mon récent Bouveret (j’ai bien essayé de joindre l’ophtalmologiste qui suit mon mari mais le week-end il est absent) et l'infirmière sûrement stressée par le manque de personnel. Enfin, suite à ma révolte, car pour la énième fois elle refusait ce geste et ceci malgré mes explications, elle a fini par appeler un médecin, pourquoi ne l’a-t-elle pas fait vendredi ? Il est venu, a coché une case sur la feuille de transmission et voilà le problème réglé. Je verrai ce soir si son ordre a été respecté, car ce médicament rend les yeux chassieux, s’ils sont propres comme vendredi, samedi et dimanche soir, on n’aura pas mis les gouttes le matin.


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