Comme il a fait très beau, nous sommes monté aux Trois-Epis dans le but de faire une balade en forêt. Mon époux se déplace avec difficulté, mais malgré tout nous avons fait un bout de chemin sur la route qui mène au Galtz avant de nous reposer sur un banc exposé au soleil. Une gentille colmarienne s’y reposait, ayant elle aussi des difficultés pour marcher. Les abords du bancs étaient sans dessus dessous. Il paraît que ce sont les sangliers qui font ceci lors de leur quête de nourriture. Incroyable, alors que les maisons sont proches, juste de l’autre côté du chemin. Je crois que je ne m’aventurerai pas dans le coin de nuit !!! 

Nous somme revenus en ville par la route qui descend sur Niedermorschwihr. Et là, croyez le ou non ! Juste à la sortie du Huhnabuhl, à droite sur la route deux sangliers. Je ne roulais pas vite, je les voyais hésiter. Un regardait de l’autre côté de la route, tandis que l’autre descendait dans le bois. Ils paraissaient bien petits, étaient-ce des jeunes de l’année ou de petites femelles ?

Le sanglier est un mammifère de 80 à 150 kg. Mais il peut aller jusqu'à 300 kg, comme le gros solitaire qui hante la forêt avant Neuf-Brisach. Les sangliers vivent en groupes familiaux et ont une activité plutôt nocturne.
Ils se nourrissent de racines, de tubercules, de vers, de champignons, etc.

Portrait peint par Jean Brenner en 1886. Il représente son ami, un enfant de Colmar célèbre dans le monde entier. Sauriez-vous dire de qui il s'agit ?

Il n’a pas fait beau aujourd’hui. Journée maussade, ciel gris. Heureusement l’arbre devant la fenêtre de ma cuisine porte sur lui les couleurs du soleil. Dommage qu’il n’ait pas pris plus d’ampleur !

Au printemps ses fleurs blanches sentent très mauvais mais attirent les abeilles et les guêpes.

Certaines fleurs ont donné de petits fruits que les oiseaux picorent. Sauriez-vous dire de quel arbre il s’agit ?

Le patient : « Docteur, j'ai un problème. Tous les soirs, quand je suis au lit, j'ai l'impression qu'il y a quelqu'un caché dessous. Alors je me relève pour regarder sous le lit, et là bien sûr il n'y a personne. Je me recouche, mais au bout d'un moment je me dis que je n'ai peut-être pas bien regardé. Alors je me relève pour vérifier de nouveau, sans résultat bien entendu. Bref, j'ai beau me dire que c'est idiot, je ressens toujours le besoin de m'assurer que personne n'est caché sous le lit. Docteur, tout ça me pourrit la vie, pouvez-vous faire quelque chose ? » 
Le psychiatre : « Hum... Je vois... obsessionnel compulsif... Comptez quatre ans d'entretiens de psychothérapie, à raison de trois séances par semaine et je vous guéris de votre obsession. »

 Le patient : « Euh.. Combien ça va me coûter, Docteur ? »

 Le psychiatre : « 100 € par séance. »

 Le patient (déconcerté) : « Euh... je crois que je vais réfléchir. »

Six mois plus tard, le psychiatre rencontre le type dans la rue, par hasard. 
 « Alors ? Pourquoi n'êtes-vous jamais revenu me voir ? » demande le psy. 
Le patient : « À 100 € la séance? Mon livreur de pizza m'a résolu mon problème pour seulement 9 € . » 
Le psychiatre (vexé) : « Votre livreur de pizza?? Vraiment?? Et comment a t'il fait ? » 
Le patient : « Il m'a conseillé de scier les pieds de mon lit !! »

Charles Spindler peint ici une jeune fille de Hoffen, région de Wissembourg, en costume du dimanche. Ce costume porté par les jeune filles protestantes quand elles se rendent à l’office est plutôt sombre, austérité protestante oblige ! Seuls le bonnet, dont le flot est quelquefois rouge, et le tablier, toujours en soie, donnent une note gaie. Le flot rouge est porté, hors office, par les jeune fille de Seebach.