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L’hiver arrive à grands pas
Depuis quelques jours il neige sur les sommets.
Quelques courageux ont déjà chaussé leurs skis.
L’hiver arrive à grands pas et avec lui Noël.
« Au temps des marchés de Noël : Maison de retraite de BeblenheimNormandie : Mont Saint-Michel 1/8 »
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Commentaires
Une fine couche ce matin chez nous mais attention ça glisse !J'aime quand le manteau blanc est bien épais superbes tes photos
Gros bisous et bonne journée
MitouCoucou Marylou, que c'est beau ce manteau blanc..mais prudence quand même..bon vendredi, bisous
4@nnie54Vendredi 1er Décembre 2017 à 08:19Une bonne couche ce matin au lever...c'est beau...mais plutôt gênant pour qui doit sortir et loin...
Bises, portes toi bien.
@nnieBonjour Marylou, belles photos de la neige; chez nous il n'y en a pas.. Il fait froid.
Bonne journée, gros bisous
Jolies photos qui me font rêver
Chez nous à Orléans, juste un léger saupoudrage sur les toits
Bon weekend
DanielBonjour
La campagne a revêtu son blanc manteau,belles photos ! chez nous hier quelques flocons . Bonne fin de semaine amitiés
... nous avons pu admirer la fine couche de neige pendant quelques heures...prémices d'un hiver rigoureux?
Je me rappelle les 30 cm que nous avions il y a bien longtemps!
Bises du soir,
Mireille du sablon
bonsoir Marylou , ah mais c'est un grand plaisir pour mes yeux de voir tes clichés si beaux ! j'aime +++ les 4 !
belle lumière , et recherches photographiques !! et ++ merci belle soirée A+
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Bonjour ma douce amie
Je suis sous le charme de ce beau manteau blanc qui me rafraîchit si agréablement, tes beaux clichés sont féeriques.
Je te remercie pour ta fidélité à mon blog, quel plaisir de te lire et de venir, en un clic, dans ton bel univers, merci internet.
Au revoir Novembre et bonjour Décembre.
Je te souhaite une belle journée ainsi qu’un délicieux WE.
Je t’envoie une envolée de gros bisous d’amitié de mon ti rocher.
***
Décembre
Emile Verhaeren
(Les hôtes)
– Ouvrez, les gens, ouvrez la porte,
je frappe au seuil et à l’auvent,
ouvrez, les gens, je suis le vent,
qui s’habille de feuilles mortes.
– Entrez, monsieur, entrez, le vent,
voici pour vous la cheminée
et sa niche badigeonnée ;
entrez chez nous, monsieur le vent.
– Ouvrez, les gens, je suis la pluie,
je suis la veuve en robe grise
dont la trame s’indéfinise,
dans un brouillard couleur de suie.
– Entrez, la veuve, entrez chez nous,
entrez, la froide et la livide,
les lézardes du mur humide
s’ouvrent pour vous loger chez nous.
– Levez, les gens, la barre en fer,
ouvrez, les gens, je suis la neige,
mon manteau blanc se désagrège
sur les routes du vieil hiver.
– Entrez, la neige, entrez, la dame,
avec vos pétales de lys
et semez-les par le taudis
jusque dans l’âtre où vit la flamme.
Car nous sommes les gens inquiétants
qui habitent le Nord des régions désertes,
qui vous aimons – dites, depuis quels temps ? –
pour les peines que nous avons par vous souffertes.