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Des amaryllis
Encore des bouquets… Charles, le mari de la patronne, est fleuriste en gros.
Des arums
Il vient souvent garnir le salon avec les invendus.
Un bouquet de roses
Voici un aperçu des fleurs que j’ai trouvées au salon.
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L'ancienne cathédrale Saint-Nazaire et Saint-Celse est la première à
bénéficier, dès 1840, d'une protection au titre des Monuments historiques
qui précédera de peu le début des restaurations. Le classement, étendu à
l'ensemble de la forteresse en 1849, est accompagné d'une étude détaillée
de l'état des fortifications que l'architecte Eugène Viollet-le-Duc réalise
en prévision des futurs travaux. Source Carcassonne Culture
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Parallèlement, afin de rendre aux fortifications leur aspect médiéval, l’État entreprend dès 1852 le dégagement progressif des maisons dans les
lices, en ayant recours si nécessaire, à l'expropriation des habitants qui ressentent cruellement ces mesures autoritaires. Cette opération de longue
haleine dure plus d'un demi-siècle et symbolise l'entrée de la cité dans un nouveau statut de Monument historique, au détriment d'une communauté
urbaine dépossédée de son destin. Source Carcassonne Culture
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Les fortifications et l'ancienne cathédrale de la cité de Carcassonne font
l'objet, à partir des années 1844, de l'un des plus ambitieux programmes de
restauration du XIXème siècle. Les travaux confiés à l'architecte Eugène
Viollet-le-Duc ont permis de sauver la forteresse de l'abandon et de la
ruine en lui rendant la physionomie que les ingénieurs royaux lui avaient
donnée au XIIIème siècle. Source Carcassonne Culture
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En 1659, le traité des Pyrénées qui rattache le Roussillon à la France fait perdre à la cité son rôle militaire et stratégique.
Les pouvoirs religieux et civils sont progressivement transférés en Ville Basse, nouveau lieu de résidence des notables et des bourgeois.
En 1804, Napoléon 1er raye la cité des places fortes en activité, tout en maintenant l'Armée sur place. Celle-ci assure un entretien minimum des fortifications avec des moyens insuffisants.
Peu à peu cependant, les remparts sont vendus et servent de carrières à ciel ouvert aux entrepreneurs carcassonnais.
Sous l'action des intellectuels locaux sensibles à cette destruction programmée, l'ancienne place forte est reclassée en 1820 parmi les édifices militaires de deuxième catégorie.
Tout oppose la Ville Haute, recluse dans ses fortifications devenues inutiles, à la bastide Saint-Louis, ville drapière et commerçante tournée
vers l'avenir. La cité apparaît comme un lieu "arriéré" dont les murailles ruinées donnent libre cours aux visions romantiques. Source Carcassonne Culture
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