Frédéric Auguste Bartholdi est né le 2 août 1834 à Colmar. Fils de Jean-Charles Bartholdi, conseiller de préfecture, et d'Augusta-Charlotte, née Beyser. Il habite au 30, rue des Marchands jusqu'au décès de son père, alors qu'il a à peine deux ans. Sa mère déménage pour Paris. Il meurt à Paris le 4 octobre 1904.

En 1907, la ville de Colmar inaugure le monument dédié à Bartholdi. Sa veuve lègue sa maison, maquettes et souvenirs à la ville. Quatorze ans plus tard à la fin de la guerre de 1914-1918, l'Alsace et la Lorraine redeviennent françaises. L’année suivante le musée, dans la maison natale, ouvre ses portes.

Martin Schongauer artiste né à Colmar vers 1450 sculpture de Bartholdi datant de 1860

Dans la catégorie Tante Jeanne et moi, je vous ai présenté tante Jeanne et son époux. Ce dernier est connu comme l’un des peintres les plus importants de l’Alaska et certainement le plus aimé. Je vous livre à présent quelques unes de ses peintures toutes extraites du livre écrit par ma tante : My live with Sydney Laurence.

 Encore une peinture de son thème favori : le Mont MacKinley. Ce tableau appartient à la famille Schmidt mais on peut trouver une superbe reproduction sur papier. J’en possède une depuis 1975, année de la première impression.

C’est en 1991, lors de la visite des jardins de Monet à Giverny, que j’ai découvert une glycine qui fleurissait blanche. Auparavant je pensais qu’elles étaient toutes mauves.C'est en ce moment, à la mi-mai, que la glycine est la plus belle, dans le jardin d'eau de Monet. Elle festonne le dessus du pont, et sa couleur tendre doublée par le miroir de l'eau se marie au vert environnant. Elles sont deux à recouvrir la passerelle japonaise. La première à fleurir est toujours la mauve. C'est aussi la plus odorante, son parfum rappelle celui du jasmin. Quinze jours plus tard, quand la glycine mauve finit par se faner, la glycine blanche prend le relais et déploie ses grappes tout en longueur.

Un jour alors qu’on retournait en voiture au Cap Haïtien j’ai cru voir au loin une tempête de poussière voire de sable. En effet, en plein dans la zone désertique (la pampa haïtienne comme disait Laurent), là, où, on ne voit personne sauf des cactus le long de la route, un énorme nuage s’élevait au loin.Finalement j’ai entrevu un véhicule genre Land Rover qui soulevait ce nuage. La voiture roulait très vite, lorsqu’elle a croisé la mienne, j’ai réalisé que, ce que je croyais être un nuage de poussière, était des centaines de billets d’une gourde qui s’échappaient de la fenêtre passager arrière gauche. Laurent, l’assistant de mon époux, s’écria : « dépêchez-vous, quittez les lieux, c’est le président qui jette des billets. » La grosse voiture venait juste de nous croiser que des gens arrivèrent sur la route. Ils ramassèrent le peu qu’ils trouvèrent et s’en retournèrent derrière les cactus. Jamais je n’avais vu des hommes dans cette région et pourtant j’y passais tous les week-end depuis six mois. Je m’y étais déjà arrêtée pour faire des photos. Ce jour-là j’ai vu, au propre et non au figuré, ce que signifiait l’expression : jeter l’argent par les fenêtres.

Pour la communauté Un petit coin de ciel de Mary Ker et Alba nature avec l’espoir que mes ciels seront appréciés par elles et tous les visiteurs du blog.

Aujourd’hui ce ne sont pas les nuages qui dessinent des visages ou des animaux chimériques. Mais bel et bien le bleu du ciel. Depuis que je fais partie de cette communauté je me surprends à lever les yeux vers le ciel. Chose que je ne faisais pas vraiment auparavant. Fort est de constater que ce que je vois est différent à chaque instant. Au fait que voyez-vous dans le bleu ? Un gros lapin ?