Cet édifice construit en 1656 a été bâti pour la confrérie Santa Cruci, il est encore aujourd'hui le siège de la confrérie. L'église servit de mairie et de Casaccia (maison des pauvres) au XVIIIe siècle.

L'intérieur de la chapelle renferme de petits trésors : le tableau de Maria Regina (XVIIIe siècle), offert par l'impératrice Eugénie, une croix de Procession du XVIIe siècle et une chasse des saintes femmes avec une parcelle des reliques de la croix (XVIIIe).

Source : Chapelle Sainte Croix

Au milieu de la Citadelle de Porto-Vecchio, trône l’église Saint Jean-Baptiste.

Cet édifice en granite, construit sur les fondations d’une ancienne église génoise, date du XIXème siècle.

Elle possède un élégant clocher qui est non sans rappeler celui du village de Quenza, en Alta Rocca.

A l’intérieur, on appréciera un magnifique Christ de procession du XVIème siècle et de très beaux vitraux datant de 1960.

Les fresques ont été réalisées de 1962 à 1965 et restaurées en 2004.

L'autel et le tabernacle en marbre de carrare sont du 19ème. L’imposant et majestueux orgue date des années 1990.

L’église, dédiée à San Giovanni Battista, a été consacrée par l’évêque d’Ajaccio en 1868, pourtant la façade n’est pas terminée, l’appareillage en granite et les briques étaient destinées à un enduit et quatre colonnes devaient achever le fronton. Le manque d’argent, malgré les dons publics, a eu raison de sa façade mais l’église n’en demeure pas moins un très bel édifice !

Petit fait intriguant et singulier, en observant avec acuité la bâtisse, on s’aperçoit que l’architecture de l’église a été inversée lors de son édification. Selon la tradition, l’entrée d’une église est à l’est et le chœur à l’ouest et non le contraire. Source : Église Saint Jean-Baptiste

Porto-Vecchio est une ville portuaire.

Les murs d'une citadelle génoise du XVIe siècle servent de toile de fond

à la vieille ville et offrent une vue sur la marina et ses yachts.

Des boutiques, des bars et des restaurants bordent les rues

étroites de la ville et la place principale, la place de la République.

Vue panoramique depuis les Jardins de la paresse

La « cité du sel », comme certains la nomment, est la troisième commune la plus peuplée de l'île après Ajaccio et Bastia.

Restée longtemps une petite bourgade par rapport à d'autres villes du sud de la Corse, Sartène ou Bonifacio, elle bénéficie de l'assainissement des marécages après la Seconde Guerre mondiale,

et connaît un développement significatif durant l'administration de Jean-Paul de Rocca Serra, pour devenir un centre touristique majeur depuis les années 1980, avec la construction de l'aéroport de Figari notamment.

Mes neveux ont dîné dans les Jardins de la paresse

Source Wikipédia

Située à 7kms au sud de Porto-Vecchio,

la Baie de Santa Giulia, connue dans le monde entier est

un véritable lagon aux eaux turquoise

et limpides entourées d’un sable blanc.

La vue sur les îles Cerbicales depuis Santa Giulia

et les roches granitiques au milieu du maquis

donnent un aspect sauvage à cette plage.

La plage attire des milliers de visiteurs car elle est idéale

pour les enfants en bas âge, elle est en pente très douce !

Santa Giulia reste un site incontournable pour le farniente et la détente

Porto Vecchio

mais également un endroit privilégié pour la voile

et les sports nautiques dans un site enchanteur.

La zone humide de l’autre côté du cordon lagunaire

est un lieu d’évasion et de découverte de la faune et de la flore de Corse. Source : Marina de Santa Guilia

Desservi par un étroit chemin vicinal,

l'endroit n'était alors que le paradis des chasseurs

et des premiers campeurs sauvages.

Plage de sable fin et eaux turquoise. 

Tout a changé à partir des années 1970

avec l'arrivée de l'eau, de l'électricité et du téléphone.

Les collines se sont progressivement couvertes

de milliers de bungalows et de villas,

ce développement touristique,

plutôt haut de gamme,

étant favorisé par la création,

à 30 km, de l'aéroport de Figari.

Source Wikipédia