La place du Parlement de Bretagne se situe en plein cœur de Rennes.

Elle porte le nom du Parlement depuis la délibération du conseil municipal de la ville de Rennes du 4 mai 1981.

Robelin prévoyait pour les abords de la place des immeubles à trois étages avec toits à la Mansart et une décoration uniforme, pilastres de style ionique avec un rez-de-chaussée en pierres de taille percé d'arcades et étages en tuffeau, pour une population diversifiée par étage.

Son projet sera réalisé mais revu à la baisse par Gabriel pour les immeubles des nouvelles rues en raison du parti estimé trop luxueux et donc trop coûteux et ne tenant pas compte de la dénivellation au sol.

Au départ la place fut considérée comme "place royale". Elle était nommée "place Louis-le-Grand", glorifiant le souverain comme l'indiquait la statue équestre de Louis XIV, œuvre d'Antoine Coysevox, élevée en 1726.

Fondue en 1792, il reste de cette statue les bas-reliefs du piédestal conservés au musée des Beaux-Arts de Rennes.

La place ne prit sa configuration définitive qu'après la destruction du couvent des Cordeliers au nord-est pour permettre l'ouverture, en 1829, de la rue Louis-Philippe, qui deviendra la rue Victor Hugo.

Source : Parlement de Bretagne

L’église Saint-Germain fut la paroisse des riches marchands-merciers puis des parlementaires. Il a été érigé pour l'essentiel du XV^ème siècle au XVII ^ème siècle.

Commencé en gothique flamboyant, il fut achevé en style renaissance tardive.

Il conserve le plus ancien vitrail de Rennes ainsi que des orgues de qualité.

L’église fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 22 septembre 1914. Le beau clocher (1519-1550) qui domine l'église n'en était pas un, à l'origine, mais la tour-beffroi du corps de garde de la ville, cédée à la paroisse en 1651.

Le maître-autel et les colonnes de marbre, d'époque Louis XVI, furent dessinés par l'architecte malouin Robert-Auguste Véron,

mais taillés par un atelier marseillais.

Originellement prévus pour la cathédrale Saint-Vincent de Saint-Malo, ils furent achetés en 1805 par la paroisse Saint-Germain pour reconstituer son mobilier pillé à la Révolution.

En 1811, ils furent surmontés d'un baldaquin en bois doré avec la croix du Christ vainqueur de la Mort et dominant la Terre représentée par deux énormes serpents. Enfin, en 1855, sous Napoléon III, on ajouta au centre une gloire où le "Triangle" divin est entouré de chérubins. L'ensemble a été classé le 28 février 1948. Source Wikipédia

Bordée par l'hôtel de ville et l'Opéra, cette place agréable et vaste constitue le noyau central de la ville classique.

Elle donne accès à la Rue d'Orléans dont on peut observer, depuis la place, le Palais du Commerce et ses sculptures monumentales.

En plus d'être un lieu agréable pour une balade touristique dans la ville, la place accueille tout au long de l'année des manifestations culturelles en tous genres.

Opéra

Un point de rendez-vous idéal pour les familles.

Pour l’heure mes neveux y ont trouvé un manège pour enfants.

Le bourg d'Erquy occupe le fond d'une anse de la côte de Penthièvre

comprise entre le cap d'Erquy,

site naturel acquis par le Conseil Général des Côtes-d'Armor,

et la pointe de la Heussaye,

constituée des vestiges d'une éruption volcanique.

Le port d'Erquy qui abrite une flottille d'environ 80 chalutiers

est connu comme la « capitale » de la coquille Saint-Jacques,

pêchée dans la baie de Saint-Brieuc.

Source Wikipédia

« Dix plages de sable fin, un port de pêche en activité connu pour ses délicieuses coquilles Saint-Jacques,

des chemins de randonnées et partout l'inimitable couleur du grès rose...

Erquy ne manque pas d'atouts et de personnalité. » Source : Erquy

Mon neveu et sa compagne ont passé

une semaine de vacances en Bretagne.

Comme d’habitude ils partagent leurs photos avec moi.

Durant leur premier jour, ils ont fait une balade sur la plage à Erquy.

Vue panoramique de l'endroit