Connaissez-vous ce superbe livre : Les Alsaciens  « Quand l’art du costume exprime l’âme du peuple » ?  Plus de 200 membres de groupes folkloriques divers ont participé à cet ouvrage en posant dans leur plus beaux atours.

Parmi eux cette jeune fille du groupe folklorique de Souffelweyersheim, dans le costume de fête du Kochersberg  vers 1830. À l’époque la coiffe à grand nœud n’existait pas encore. Ce costume a été reconstitué en 2004 d’après un tableau : « Danse paysanne du Kochersberg », fin du XVIII^ème  siècle. Tableau visible au musée alsacien de Strasbourg.

Pour la communauté "tout simplement" de Nathlb.

La Dame aux camélias (Marguerite Gautier) est un roman d’Alexandre Dumas fils publié en 1848, inspiré par son amour pour la courtisane Marie Duplessis. Celle-ci aurait dit : « J’aime les hommes riches car ils n’ont pas de cœur. J’aime les camélias car ils n’ont pas d’odeur. »

Photo prise au jardin des plantes de Nantes en 1991. Comme la plupart de mes anciennes photos elle est tirée d’une diapositive.

Photos prises sur l’île de La Réunion le 26 juin 1992 au lieu dit Le Brûlé.

Pour la communauté "tout simplement" de Nathlb.

Dans le monde il existe de nombreuses variétés de ces fleurs. Ainsi dans les jardins d’Inverewe en Écosse j’ai eu le bonheur d’en trouver des bleues. Un endroit dans ces jardins est dédié à la paix, à la mémoire des héros, lieu planté de pavots aux teintes bleutées voire violacées.

Photos tirées de diapositives prises en 1997

En Alaska poussent des coquelicots dits arctiques dont les teintes varient du blanc à l’orange en passant par le jaune.

Photo tirée d’une diapositive prise dans les année 60 en Alaska.

Au XIII^ème  siècle, la chapelle Saint-Jacques se trouvait à l'emplacement de l'actuel Corps de Garde. On y avait mis les ossements trouvés à l'occasion du creusement de nouvelles tombes dans le cimetière qui se trouvait aux pieds de la collégiale Saint-Martin (actuelle Place de la Cathédrale côté sud). À la Réforme la chapelle fut transformée en arsenal. Dès 1575 une partie du bâtiment servit de logis au chef des gardes. C'est à cette même époque que fut construite la superbe loggia, joyau de la Renaissance Rhénane.

Rue des marchands, à l’arrière du Corps de Garde on peut apercevoir les arches de l’ancienne chapelle.

En levant les yeux on peut voir, au point culminant du pignon est, une croix en grès, un des derniers signes visibles de la chapelle.

Je continue de vous montrer les maisons de la vieille ville. Dans la Rue Mercière, à l’angle de la Place de la Cathédrale un superbe édifice repose en partie sur des colonnes en grès des Vosges portant toutes une sculpture.  La rue tire son nom des merceries installées dès le XV^ème siècle dans cette rue.

Façade Place de la Cathédrale

Façade rue Mercière

Vue à l'angle de la rue Mercière et de la place de la Cathédrale