• Pour la communauté « Photographe du dimanche » gérée par Poupinette

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    Ça y est c’est la période des vacances ! Chacun de rêver à une destination ailleurs. Durant des années j’ai rejoint mon époux qui travaillait au delà des océans. Ces voyages m’ont menée aux îles paradisiaques qui furent mon quotidien, les souvenirs sont nombreux.

     

     

     

    Ibobeach, plage créée artificiellement par apport de sable.

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    Taïno : Plage et Hôtel



     

     

     

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    Marylou au bord de la piscine de l'Hôtel Taïno

    Par exemple en Haïti : plages à perte de vue pour moi toute seule, baignades dans des baies où mouillent les yachts fuyant les cyclones. Mais aussi quelques plages privées appartenant à des hôtels pour touristes comme Taïno et Ibobeach, http://i54.tinypic.com/34fz5v4.jpgla plage des cousins Dufort à Saint-Louis du sud et tant d’autres.


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  • Pour la communauté « Photographe du dimanche » gérée par Poupinette

    http://i56.tinypic.com/3179vgw.jpgLorsque je vivais en Haïti on m’avait dit de prendre garde à ce que j’écrivais dans les albums photos. En effet le contrôle à l’aéroport pouvait passer à la censure. Comme j’avais vécu plusieurs contrôles plus ou moins rocambolesques, je pris note. http://i53.tinypic.com/jgmcg9.jpg En conséquence j’écrivis des petites poésies bien inoffensives en marge des photos. Le poème que voici est celui de la page consacrée au flamboyant de Kayona Beach.

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    Les belles couleurs de flamme,

    S’épanouissent à qui mieux, mieux,

    L’arbre s’embrase, merveilleux,

    Et tel une boule de feu

    Illumine la plage et les âmes.


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  • http://i54.tinypic.com/291f5tj.jpg Un jour alors qu’on retournait en voiture au Cap Haïtien j’ai cru voir au loin une tempête de poussière voire de sable. En effet, en plein dans la zone désertique (la pampa haïtienne comme disait Laurent), là, où, on ne voit personne sauf des cactus le long de la route, un énorme nuage s’élevait au loin.Finalement j’ai entrevu un véhicule genre Land Rover qui soulevait ce nuage. http://i53.tinypic.com/2my6e6p.jpgLa voiture roulait très vite, lorsqu’elle a croisé la mienne, j’ai réalisé que, ce que je croyais être un nuage de poussière, était des centaines de billets d’une gourde qui s’échappaient de la fenêtre passager arrière gauche. Laurent, l’assistant de mon époux, s’écria : « dépêchez-vous, quittez les lieux, c’est le président qui jette des billets. » La grosse voiture venait juste de nous croiser que des gens arrivèrent sur la route. Ils ramassèrent le peu qu’ils trouvèrent et s’en retournèrent derrière les cactus. http://i53.tinypic.com/2h2ozuf.jpg Jamais je n’avais vu des hommes dans cette région et pourtant j’y passais tous les week-end depuis six mois. Je m’y étais déjà arrêtée pour faire des photos. Ce jour-là j’ai vu, au propre et non au figuré, ce que signifiait l’expression : jeter l’argent par les fenêtres.


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  • On appelait tante Lucie la cousine de belle maman. C’était une petite vieille pimpante et guillerette toujours prête à faire des coups en douce. Comme le jour où elle avait commandé aux cuisinières son plat préféré. Il fut servi un dimanche à la place de la dinde. « Chouette du veau ! » me suis-je exclamée, « ça change de l’habitude. » Les tranches fines et dorées m’étaient l’eau à la bouche. Pensez, dans un pays où on ne peut pas servir de viande sans risque, ce choix était inhabituel. De sa voix douce elle dit : « tu peux attaquer sans risque c’est de la viande aussi fraîche que celle des dindes tuées dans la cour avant cuisson .» Je mangeais, mais ma joie fut de courte durée, le veau était très salé, et je soupçonnais la cuisinière d’en avoir trop mis. Finalement à la fin du repas je dis : « dommage le veau était trop salé, à la limite immangeable ». « Normal » répondit tante Lucie « c’était de la tortue marine. » Et pour appuyer ses dires elle demanda à la cuisinière d’apporter la carapace de l’animal. Aujourd’hui les écailles de la petite tortue caret sont dans mon bureau. Jamais plus je fis confiance à tante Lucie en ce qui concernait les repas.http://i54.tinypic.com/33djcrt.jpg


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    Trop gentil et vraiment sympa avec les paysans du coin qui se sont donné le mot, mon mari a bien du mal pour leur faire comprendre qu’il ne peut pas leur acheter toutes les pierres sculptées qu’ils ont trouvées au fil du temps. D’ailleurs le gouvernement essaie de les récupérer pour les mettre dans un musée. C’est du moins ce qui se dit. Mais la somme plus que modique que promet ce dernier n’incite nullement les paysans à se défaire de leurs trouvailles. Ils préfèrent de loin les vendre en catimini aux quelques touristes et aux personnes de confiance qui les paient davantage. Certaines de ces pierres finissent aussi sur l’autel de l’huomfort (temple vaudou)  et servent http://i54.tinypic.com/2mqohg6.jpgau r ituel vaudou. 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    En voici deux autres que Jacques m’a  offertes et que j’ai pu rapporter en France. Regardez bien, sur l’une d’elles on distingue une croix ou est-ce une fleur ? 


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