Photo prise par Aurélien Kempf Photographe à Colmar

Mon neveu, Aurélien Kempf Photographe, m’a encore offert un superbe puzzle d’après une de ses photos. J’ai commencé l’ouvrage dès réception. Trouver les bords parmi 266 pièces a été assez long. Finalement au bout de 48 mn les bords étaient en place. J’ai mis du cœur à l’ouvrage, en deux temps.

En un peu plus de trois heures je suis arrivée à faire ce qu’on voit sur la photo.

Que cette nouvelle année soit meilleure que la précédente.

Puisse la pandémie mourir de sa belle mort.

Que chaque nouveau jour apporte un petit moment de joie.

Que la paix s'étende sur le monde.

Bonheur et santé à tous les hommes.

Longue vie à l'amitié.

Mon neveu m’a offert un superbe puzzle d’après une de ses photos.

La photo

J’ai commencé l’ouvrage, le ciel m’a donné quelques tracas car deux, voire trois morceaux s’emboitaient dans différentes positions.

Le puzzle après 2h42

Finalement au bout de 42 mn les bords étaient en place. En moins de trois heures je suis arrivée à faire ce qu’on voit sur la photo.

Dans la même catégorie que le souvenir précédent voici ce qui m’est arrivé dans le train en revenant de Paris.

C’était toujours dans les années 70, à l’époque j’enseignais à Colmar à l’école Adolphe Hirn. Mon futur époux était finalement revenu de l’île de la Réunion, il habitait Paris et travaillait dans la région parisienne. Je le rejoignais tous les samedis par les trains Colmar-Strasbourg départ à 11h17, puis Strasbourg-Paris. J’avais juste le temps de changer de quai pour monter dans le wagon de première où ma place, dans le sens de la marche, était réservée. J’arrivais à Paris vers 17h pour repartir le lendemain à la même heure. C’est au cours d’un retour que j’ai conversé avec un illustre inconnu.

Ce soir-là le wagon de première était compartimenté et personne à bord juste ce voyageur à qui j’ai demandé si je pouvais m’installer dans son compartiment car je redoutais de rester seule dans ce train de nuit. À Nancy personne n’est monté, on est donc resté seul jusqu’à Strasbourg. Durant les 4 heures du trajet il y a eu de longs silences mais la plupart du temps on conversait. Le visage de mon interlocuteur me semblait familier mais comme de coutume ne n’ai pas réalisé qui c’était. Lorsqu’il s’est éloigné sur le quai, j’ai dit au contrôleur qui me tenait la porte : « Savez-vous qui est ce monsieur ? » Il m’a répondu que oui : « C’est le nouveau ministre de l’éducation nationale. »

Waouh ! Heureusement que je n’avais pas critiqué cette institution durant nos conversations !

Il faut que je l’admette je ne suis absolument pas physionomiste et cela me joue parfois des tours.

Je me souviens c’était dans les années 70, à l’époque je passais les vacances d’été sur l’île de la Réunion. J’étais dans l’avion du retour vers Paris. J’avais sympathisé avec mon voisin qui me semblait familier, mais je ne savais pas qui c’était. On était assis à gauche dans la partie de l’avion où il n’y avait que deux sièges côte à côte. On a papoté une grande partie du voyage de choses et d’autres. On a ri, on a échangé des opinions des idées etc. tant et si bien que le temps a vite passé. À l’arrivée, non sans me dire au revoir, ce compagnon de vol fort agréable s’est précipité vers la sortie de l’avion. J’en ai profité pour demander à l’hôtesse de l’air qui il était. Elle était étonnée de cette question car elle nous avait observés lors de nos échanges verbaux. Elle m’a répondu : « Votre comportement m’a fait penser que vous étiez de vieux amis jamais je ne me serais doutée que vous ne saviez pas que votre interlocuteur était Pierre Perret. »