C’est à Mérimée que l’on doit le surnom de Sartène : « la plus Corse des villes Corses » car Sartène est toujours restée fidèle aux traditions Corses.

Couvent franciscains Saint Côme et Saint Damien

Érigée à 300 mètres d’altitude, la ville est solidement accrochée depuis le Moyen-âge à l’éperon rocheux du Pitraghiu.

C’est une des villes les plus pittoresques de Corse.

La commune de Sartène est la plus grande de Corse :

sa superficie est de 200 km².

Elle s’étend de Cala d’Arana et va jusqu’au rocher de Roccapina ! Sartène possède aussi un domaine de 2600 hectares de vignes bénéficiant de l’appellation AOC.

La ville a été fondée en 1550 par les Génois qui en confièrent la garde aux riches aristocrates. En 1565, des pirates attaquèrent la ville et réduisirent en esclavage 2/3 de la population.

Au XIX^ème siècle les deux clans de la ville s’opposèrent avec pertes et fracas jusqu’à l’accord de paix de 1834.

Source : Sartène

La visite continue le long de la côte rocheuse vers l’îlot aux oiseaux.

Un nageur profite des derniers rayons du soleil

Comme le soleil décline les goélands reviennent

Là on le voit mieux

de leur quête de nourriture.

Deux écueils à bâbord

Ils se posent sur les rochers pour y passer la nuit.

Au fur et à mesure que l’astre du jour se couche

ses rayons irisent les rochers.

La navigation devient dangereuse car les écueils sont nombreux.

Les passagers du bateau font fonctionner APN et Smartphones.

Lorsque l’embarcation est à l’arrêt,

le capitaine en fait autant.

Le capitaine respectait tous les points de la visite guidée.

Après l’arrêt baignade, durant lequel seul mon neveu s’est mis à l’eau,

le capitaine a préparé l’assiette dégustation

des produits du terroir et l’apéritif.

Joëlle a pris la pose dans la timonerie

Cormoran dans une mer couleur or

en attendant que tout soit prêt.

Tandis que les convives mangeaient de bon cœur,

le soleil amorçait sa descende vers l’horizon.

Ne perdant rien du spectacle,

Aurélien et Joëlle ont fait des photos.

Visite guidée :

-Baie des Barbaresques et sa tour génoise
-Village de pêcheur de Campomoro
-Calanques de Belvédère, classées réserve marine
-Ilots aux oiseaux
-Arrêt baignade dans un aquarium naturel

- Coucher de soleil avec assiette dégustation produits du  terroir et apéritif

Comment résister à une telle proposition !

Mes neveux se sont laissé convaincre.

Ils ont fait une sortie en mer durant leur séjour en Corse.

Ils ont embarqué avec quelques autres participants sur l’Any bateau à moteur attaché au port de Propriano pouvant transporter 12 passagers.

Aurélien s’est baigné au milieu des poissons

qui happaient les morceaux de pain que le capitaine avait jetés à la mer.

Il a senti les poissons qui le frôlaient.

Selon ses dires « ça chatouillait ».

Un moment intense à ne pas oublier.

Comme à leur habitude, Aurélien et Joëlle ont fait beaucoup de photos.

Les trois sites principaux sur le plateau sont :

deux alignements, I Stantari et Renaghju, et un dolmen, Fontanaccia.

En arrière-plan, le chaos rocheux de la « Punta di u Grecu »,

« la montagne du Grec », et ses « taffoni »,

énormes blocs de pierre érodés ayant servi d’abris aux premiers hommes.

Le site de Cauria fut visité en 1840 par Prosper Mérimée.

Il fut mentionné par Adrien de Mortillet en 1893. En 1964, Roger Grosjean mit à jour les statues-menhirs d’I Stantari, en relevant certaines.

En 1975, Renaghju fut fouillé par Jean Liégois, qui redressa lui aussi quelques pierres, avant de laisser la place à André d’Anna qui reprit les fouilles en 1994.

A l’heure actuelle, Cauria comporte plus d’une centaine de monolithes en granite, debout, couchés ou partiellement enterrés.

La pierre est issue des affleurements rocheux distants de quelques centaines de mètres.

Source : Lieux sacrés