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Par colmar-city le 20 Juin 2018 à 01:00
La chaire date du 18ème siècle
Les matériaux utilisés pour la construction de l'édifice sont le granite, le moellon et la pierre de taille ; tandis que l'ardoise et la pierre ont été utilisées pour sa couverture.
Les grandes orgues ont été réalisées par les facteurs Koenig, père et fils, construites en 1977 et inaugurées en 1980.
Elles sont composées de quatre claviers et un pédalier et 35 jeux.
La Vierge et l'Enfant
Cet orgue remplace celui de Louis Debierre construit en 1893 de style romantique qui fut détruit en 1944.
La chaire est du XVIIIème siècle.
Elle a été remise à sa place dans la nef.
Le mobilier du sanctuaire comporte notamment un maître-autel, un siège de présidence et un baptistère en bronze.
Ce sont des œuvres d'Arcabas père et fils.
Une statue de la Vierge à l’Enfant est visible dans l’axe collatéral sud. Elle ornait auparavant l’hôtel Blaize de Maisonneuve (5, rue d’Orléans), où son emplacement est encore visible.
Reliquaire de Sainte-Célestine
Cachée durant la Révolution, elle fut offerte par la famille à la paroisse en1828. Gravement endommagée lors du bombardement de Saint-Malo au cours de l’été 1944, elle réintègre, réparée, l'édifice en 1951.
Les fonts baptismaux datent du XVIIIème siècle ainsi que trois statues en marbre blanc du sculpteur génois Francesco Maria Schiaffino. Source Wikipédia
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Par colmar-city le 19 Juin 2018 à 01:00
Un peu d'histoire :
L'évêché de Saint-Malo fut créé en 1146, lorsque Jean de Châtillon, évêque d'Aleth depuis 1144, transféra son évêché à Saint-Malo,
ville en croissance continue à l'époque, qui constituait en outre un site beaucoup plus sûr.
Il fallut attendre 1146 et l'agrément du pape Eugène III, pour que le transfert puisse s'effectuer.
Le monastère de Saint-Malo, fondé en 1108, devint la résidence de l'évêque et son église monastique devint cathédrale, remplaçant ainsi la cathédrale Saint-Pierre d'Aleth.
Des transformations furent réalisées dont l'édification du chœur, ce qui en fit un monument totalement de style roman.
L'église Saint Vincent devint la cathédrale de Saint-Malo jusqu'à la suppression du siège épiscopal en 1790.
Ex-voto, le Stella Maris offert le 23 janvier 1994 par les corsaires malouins
Ensuite l’édifice évolua à travers les siècles. Par exemple : au XIXe siècle, Napoléon III se laissa convaincre par l'abbé Huchet de faire coiffer la tour d'une grande flèche ajourée en style breton en pierre de Caen en 1858. Au XXe siècle, la cathédrale fut endommagée lors des combats de l'été 1944.
La flèche fut pilonnée par un destroyer allemand, croyant qu'elle pourrait servir de repère aux Américains, et elle s'écroula sur la chapelle dite du Sacré-Cœur. Source Wikipédia
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Par colmar-city le 16 Juin 2018 à 01:00
La cathédrale de Saint-Malo, au centre de la vieille ville,
possède des vitraux narrant l'histoire de la ville.
La cathédrale est une ancienne cathédrale
Vestiges de l'ancien cloître
catholique romaine dédiée à Saint-Vincent-de-Saragosse.
Son architecture mélange les styles et elle est classée monument historique
de France. Elle a été le siège de l'ancien évêché de Saint-Malo depuis 1146.
Ce dernier fut supprimé par le concordat de 1801, et son territoire réparti entre les diocèses de Rennes, de Saint-Brieuc et de Vannes.
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Par colmar-city le 14 Juin 2018 à 01:00
Qui dit ville portuaire, dit oiseaux marins,
il y a de nombreux goélands à Saint-Malo.
Ce sont surtout des goélands argentés.
Le nom français goéland est un emprunt au breton gwelan ou gouelañ qui
désigne ces grosses mouettes et signifie "pleurer".
Ce qui décrit parfaitement le chant de cet oiseau.
Mes neveux, en visite dans la ville,
ont croisé ces oiseaux peu farouches friands de cacahuètes.
Je partage avec vous quelques photos qu’ils ont prises.
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Par colmar-city le 13 Juin 2018 à 01:00
De hauts murs en granite ceignent la vieille ville,
qui fut autrefois un bastion pour les corsaires.
Vaisseau de pierre sur l'embouchure de la Rance,
Saint-Malo dresse fièrement ses remparts
au-dessus de ses plages et de son port.
Les façades et tours émergeant des fortifications
donnent à la ville sa silhouette unique.
Pour aborder la cité malouine, le chemin de ronde offre des vues imprenables !
Au XVIème siècle, écumant les routes maritimes,
les armateurs assurent la fortune de la ville.
Ils prospèrent à l'abri des remparts, agrandis par les disciples de Vauban.
Au XVIIème siècle, les corsaires Duguay-Trouin et Surcouf confirment le prestige de Saint-Malo, dont l'étendard flotte au-dessus du drapeau français.
Source : Saint-Malo
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