La messe d’enterrement de Papy Jean, 88 ans, qui s’est déroulée hier a été très émouvante.
Dans un premier temps le cercueil est arrivé dans un corbillard tiré par deux chevaux.

Papy Jean était un as de l’équitation. Il aimait les chevaux et montait encore l’an passé. Ses amis cavaliers ont voulu lui rendre hommage de cette manière. Les cors de chasse ont résonné durant la levée du cercueil et plusieurs fois durant l’office. C’était très émouvant.

Sa fille lui a rendu hommage en lisant une prière indienne : Ne me pleurez pas... Le cercueil a quitté l’église au son de « Petite Fleur » comme Papy Jean l’avait demandé. Magnifique cérémonie…

Quand je ne serai plus là, lâchez-moi !
Laissez-moi partir
Car j'ai tellement de choses à faire et à voir !
Ne pleurez pas en pensant à moi !

Soyez reconnaissants pour les belles années
Pendant lesquelles je vous ai donné mon amour !
Vous ne pouvez que deviner
Le bonheur que vous m'avez apporté !
Je vous remercie pour l'amour que chacun m'a démontré !

Maintenant, il est temps pour moi de voyager seul.

 Au bord de la rivière le spectacle est champêtre.

On a vraiment l’impression d’être à la campagne.

Je me suis reposée sur un banc. Je n’ai pas vu le héron.

Mais j’ai entendu le cri poussé par des poules d’eau.

Finalement j’en ai vu une qui nageait au milieu de la rivière.

Pas facile de mettre ces poulettes dans l’APN. Les roseaux ondulaient dans le vent. C’était "chouette".

Après l’éclipse de lune, dont j’ai aperçu la fin, ce matin de bonne heure, le soleil brille.

Il fait beau le ciel est bleu, aucun nuage à l’horizon. 

 Petit clin d’œil à flowerpower2015 : Une rose d’un bouquet. Bonne semaine…

 Hier en revenant de la pharmacie j’ai fait une balade dans le quartier des maraîchers,
très exactement le long de la Lauch.

J’aime beaucoup cet endroit car on a l’impression d’être à la campagne.

J’ai rencontré des personnes sympas avec lesquelles j’ai papoté.

J’ai fait la connaissance de deux petits cousins, Lucien le turbulent et Adam le sage.
Tous les deux étaient intrigués par les ragondins.

Ces derniers s’attendaient à ce qu’on leur donne quelque nourriture.

Tant et si bien qu’ils se sont approchés jusqu’à mordiller les baskets de ma voisine.

Mon neveu vient de m’envoyer deux photos anciennes de la rue Stanislas.

Elles ont été prises depuis la maison familiale.

Je joins une photo de cette maison faite en 1913 par mon grand-père Albert Kempf.