-
À l’étage le potier qui confectionne les plats à Baekaoffa et autres grands récipients est secondé par un tour mécanique. Il doit respecter un quota, soit 30 plats dans la journée.
Pas évident lorsque l’atelier est envahi par les curieux auxquels il prodigue des explications. Un peu plus loin deux jeunes femmes s’affairent. L’une d’elle rectifie les
défauts des couvercles des beurriers tandis que l’autre peint les plats avec une dextérité incroyable, en un rien de temps elle peint canards et cigognes sur les plats avant cuisson.
Bizarre cette teinte grisâtre du plat qu’elle manipule sera bleu claire après cuisson.
3 commentaires -
À la suite du magasin se trouve l’atelier. C’est là que le maître potier effectue ses nouvelles créations. On a eu droit aux explications et bien sûr à une démonstration.
Près des moules de Lamala (notre agneau pascal) j’ai appris que ceux-ci étaient cuits en entier et qu’ensuite ils étaient fendus en deux par martelage (démonstration à l’appui) ;
les deux parties étant ensuite maintenues par une pince spéciale qui supporte la chaleur lors de la cuisson du biscuit.
5 commentaires -
Lors de la sortie du club dans le Bas-Rhin nous avons visité l’atelier de la famille
Friedman. Comme celui du voisin, l’atelier se trouve dans une maison aux volets peints.
Ici c’est le coq qui est maître des lieux, il domine le toit et garnit les volets.
Dans la cour deux bancs accueillent les visiteurs.
D’énormes plats garnissent les murs, d’autres, comme les plats à Baekaoffa servent de
pots pour les fleurs.
4 commentaires -
L'atelier du potier : Ph. Lehmann
Soufflenheim est célèbre dès l'Antiquité pour la terre argileuse qu'on y extrait et qui sert à façonner des poteries. Les premières traces d'activité remontent à 200 avant
Jésus-Christ, mais l'existence de potiers dans le village n'est signalée qu'à partir de 1142, époque à laquelle Soufflenheim fait partie, comme d’ailleurs toute l’Alsace,
du Saint-Empire romain germanique. Le développement de la poterie est encouragé par
Tous les volets sont peints
Frédéric Barberousse qui accorde à la guilde locale des potiers le privilège d'extraire gratuitement la glaise de la forêt de Haguenau.
Aujourd'hui, le village compte encore près d'une vingtaine d'artisans qui produisent surtout des ustensiles destinés à la cuisson de recettes traditionnelles alsaciennes.
Restaurant Au Bœuf
3 commentaires -
Eh oui ! Samedi je me suis arrêtée près du canal avant de rejoindre ma cousine qui m’attendait pour déjeuner. Une semaine que je n’avais pas vu les cygnes et j’espérais que
les petits étaient nés. Ben non ! comme dirait la petite voisine. Maman était toujours sur le nid. Le mâle venait la rejoindre. Face au nid, les colverts luttaient contre le courant.
Qui sait peut-être la prochaine fois j’aurais le bonheur de voir les petits.
3 commentaires
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires