Actuellement les journaux régionaux sont remplis d’articles concernant la libération des villes et village alsaciens. Dans ma bibliothèque j’ai pas mal d’albums photos faits par grand-père. Voici quelques clichés fait le 02 février 1946 date anniversaire de la Libération de Colmar.

Parmi les officiels au premier plan : le maire Edouard Richard (béret, chapeau à la main), le général de Lattre de Tassigny
au second plan : le préfet Fonlupt-Espéraber ( moustaches et grand chapeau)
1946 : La fanfare du 15 2, les diables rouges, régiment d’infanterie basé à Colmar.






1995 : la fanfare des diables rouges lors du cinquantième anniversaire de la Libération

 En prévision de la prise d’armes et des cérémonies commémoratives du 65^ème anniversaire de la Libération qui se dérouleront demain, la ville pavoise. Sur la Place Rapp les drapeaux flottent au vent : français, européens mais aussi les armes de Colmar.

Autrefois les hivers étaient bien plus rudes qu’aujourd’hui. Je me souviens avoir lugé au Champ de Mars et dans la rue des Marchands. C’était chouette ! A force d’utiliser la petite pente à droite de la fontaine du square Thomas, elle était devenue une piste de glace sur laquelle je suis tombée et j’ai fracturé le coccys.

Dessin de Hansi datant de 1924 : un coin de la Grand’Rue

Je viens de recevoir un courriel depuis Montréal me donnant des nouvelles de la maison familiale située dans le quartier de Turgeau à Port au Prince. Pour info : photo prise en 1984 avant que je plante des arbres dans le triangle

La maison de Turgeau n'est pas tombée mais elle tient debout dans un équilibre très précaire. Jude le gardien est toujours sur la propriété. Le local de l'école hôtelière sur la propriété voisine a été complètement détruit.

 Charles Spindler reproduit sur cette aquarelle le costume de jeune fille porté à Steinselz les jours de fête. Le corsage ou corselet à échancrure carrée est fermé sur le devant par une série d’agrafes, le plastron triangulaire est supprimé, sur la gorge un nœud de ruban. Le tablier représenté est celui que les jeunes filles portent pour aller au Messti (la fête du village). Notez l’ajustement des différents foulards et collerette qui entourent le cou, quatre pièces de tissus disposés d’une manière bien spéciale. Cet ajustement est un peu plus visible sur une planche que je vous montrerai prochainement.